| jamsmadrid a écrit :
[citation=DUDU 53]les races orphelines ( variétés ) n'ont jamais étaient facile a produire en respectant le standard c'est la qu'on voit les qualités de l'éleveur et puis ( Paris ne c'est pas construit en un seul jour ) et puis quand on réussi un bon travail et que long ne doit rien a personne C'est aussi mon avis. Il faut être conscient des défauts et points á améliorer mais aussi savoir relativiser par rapport á la variété en question. Actuellement on ne peut pas demander aux variétés rares d'être au niveau des bleus par exemple Faut le dire plus forte et au bon moment(citation:on ne peut comparer cette variété á celle des bleus)-soit aux expos á des responsables-soit aux JT avec des juges invité Tout à fait d'accord avec toi Pascal, on ne peut comparer cette variété à celle des bleus!!! Je crois que l'éleveur doit avoir les idées claires, celui qui veut des résultats rapides en expo travaillera des variétés "classiques" oú le plus gros de la sélection a déjá été fait par d'autres. Celui pour qui le résultat en expo n'est pas une priorité et qui aime les défis prendra une variété plus rare et devra y dédier pas mal de travail (et surtout de temps !) avant de voir les premiers résultats en expo. C'est un choix offert á chacun. On peut aussi travailler une variété "classique" et une "rare" á côté pour se faire plaisir. En effet, très bon compromis ! faudrait-til pour celà ne pas trop les stigmatiser ! Bien dit tout cela Pierre |
Oui, mais l'éleveur qui se lance dans ces variétés rares et/ou difficile doit savoir que ce sera un chemin long et épineux. Lui verra la progression de sa selection au fil des années alors qu'un juge ou tout autre personne verra les sujets á un instant T sans prendre en compte tout ce qu'il y a derriere. Le plus important c'est que l'éleveur ait les idées claires sur ce qu'il fait , et aprés, les expos... c'est pas la priorité. Quand j'avais les strassers, je n'ai jamais sélectionné en fonction des résultats aux expos( á part peut être les 2 premieres années), mais surtout en fonction de ce que je voyais dans la voliere.[/citation] je pense que la première des choses est de bien connaitre le standard de la race que l'on élève et de voir où l'on se situe par rapport aux élevage de pointe. la meilleure école étant pour moi le championnat national et une visite dans les élevage de pointe où là ,on peut discuter en toute sérénité . le reste étant le savoir de l'éleveur à accoupler juducieusement chaque saison d'élevage. |
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| DUDU 53 a écrit :
les races orphelines ( variétés ) n'ont jamais étaient facile a produire en respectant le standard c'est la qu'on voit les qualités de l'éleveur et puis ( Paris ne c'est pas construit en un seul jour ) et puis quand on réussi un bon travail et que long ne doit rien a personne C'est aussi mon avis. Il faut être conscient des défauts et points á améliorer mais aussi savoir relativiser par rapport á la variété en question. Actuellement on ne peut pas demander aux variétés rares d'être au niveau des bleus par exemple Faut le dire plus forte et au bon moment(citation:on ne peut comparer cette variété á celle des bleus)-soit aux expos á des responsables-soit aux JT avec des juges invité Tout à fait d'accord avec toi Pascal, on ne peut comparer cette variété à celle des bleus!!! Je crois que l'éleveur doit avoir les idées claires, celui qui veut des résultats rapides en expo travaillera des variétés "classiques" oú le plus gros de la sélection a déjá été fait par d'autres. Celui pour qui le résultat en expo n'est pas une priorité et qui aime les défis prendra une variété plus rare et devra y dédier pas mal de travail (et surtout de temps !) avant de voir les premiers résultats en expo. C'est un choix offert á chacun. On peut aussi travailler une variété "classique" et une "rare" á côté pour se faire plaisir. En effet, très bon compromis ! faudrait-til pour celà ne pas trop les stigmatiser ! Bien dit tout cela Pierre |
Oui, mais l'éleveur qui se lance dans ces variétés rares et/ou difficile doit savoir que ce sera un chemin long et épineux. Lui verra la progression de sa selection au fil des années alors qu'un juge ou tout autre personne verra les sujets á un instant T sans prendre en compte tout ce qu'il y a derriere. Le plus important c'est que l'éleveur ait les idées claires sur ce qu'il fait , et aprés, les expos... c'est pas la priorité. Quand j'avais les strassers, je n'ai jamais sélectionné en fonction des résultats aux expos( á part peut être les 2 premieres années), mais surtout en fonction de ce que je voyais dans la voliere. |
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